Une nouvelle scène a été ajoutée au son et lumière : celle du train assurant la relève. Des soldats arrivent au front tandis que d’autres, blessés, sont embarqués pour être soignés. La locomotive, baptisée la « Suzanne », issue d’un son et lumière du Doubs, a été modifiée pour l’occasion par Olivier Séguer et ses équipes.

Deux nouveautés cette année pour l’événement-spectacle « Des Flammes à la lumière » : le final remanié et le train. « On avait l’infanterie, le char et l’avion, il ne manquait que le train », précise Jean-Luc Demandre, l’ancien président de l’association Connaissance de la Meuse qui gère le spectacle. « Fin 1914, le réseau ferré meusien a été réquisitionné par l’armée. » Parmi ces trains se trouvait « Le Meusien », qui transportait « le ravitaillement, du matériel et des hommes. C’était une ligne parallèle à la Voie Sacrée et c’était un train qui n’avançait pas vite », mais qui va assurer « la noria » en 1916.

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