L’idée trottait dans la tête du président de Connaissance de la Meuse, l’association qui organise le spectacle, depuis un moment. Cette fois, pari tenu ! Notre journaliste Camille Rannou a participé à une représentation Des Flammes à la lumière. D’abord villageoise, elle a ensuite revêtu l’uniforme d’un Poilu pour partir à la guerre. Retour en images sur son expérience.
Un costume sous un costume
Il est 21 h quand je suis accueillie sur site. On me confie aux mains expertes de Rose, 14 ans, pour ma coiffure. « Je vais faire des tresses collées (à la tête) et un chignon bas pour que les cheveux ne dépassent pas du casque », me précise la jeune meusienne. Le public ne doit pas voir que des femmes font partie des soldats durant le spectacle.
Une fois parfaitement coiffée par l’adolescente adroite, c’est au tour de Nathalie de m’examiner sous toutes les coutures. Pas besoin de connaître ma taille, la costumière fait tout à l’œil. Elle cherche à assortir au mieux les couleurs et les motifs de ma jupe, mon tablier, mon chemisier, mon châle et mon fichu sur la tête…
Voir les photos de l’article ER du 12 juillet 2022 (Camille Rannou)
Crédit photos Fréderic Mercier.